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mardi 11 octobre 2016

Malades?

   
ACTES 9.1‑9

Nous n’aimons pas être malades ou affligés.
Quel bien pourrait‑on en retirer?
Dieu permettrait‑il que nous soyons malades?
 

La réponse est oui.
La maladie résulte de vivre dans un monde déchu; nous ne devrions donc pas nous étonner si elle nous frappe. 

Le Seigneur peut cependant s’en servir pour attirer notre attention. 
Si nous devons être malades pour recommencer à fixer les yeux sur Jésus, c’est exactement ce qu’il trouvera bon de permettre.
Pensons à l’apôtre Paul. Son nom nous rappelle le missionnaire du premier siècle, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Dieu nous le présente dans Actes 9.1,2, où il est nommé Saul, l’ennemi des chrétiens.

 Comment le Seigneur a‑t‑il donc réussi à attirer son attention?
Dans les Actes, nous lisons que Dieu lui est apparu dans un éclair que seul Saul a pu voir et, qu’après que Jésus s’est révélé à lui, il est devenu complètement aveugle.
Cet adversaire de l’Église a été humilié et a dû être tenu par la main pour aller à la ville, étant alors à la merci des autres.
À quoi Paul a‑t‑il pensé durant les trois jours de sa cécité?
Sans nul doute, à Christ. En lui ôtant la vue, Dieu lui a également enlevé toute distraction pendant cette période vitale de sa vie.
Dieu vise notre bien ultime plutôt que notre bien‑être ou notre bonheur à court terme.
Il désire ce qu’il y a de mieux pour nous à la lumière de l’éternité.
Cela signifie donc qu’il nous laissera parfois souffrir de maladie.
Si c’est votre cas, priez pour être guéri, mais demandez‑lui aussi de discerner ce qu’il veut vous dire par cette épreuve.

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