Vous avez peut-être entendu quelqu’un dire : « Je ne crois pas que le bien ou le mal existe vraiment. »
Ou peut-être avez-vous entendu un professeur affirmer que les valeurs absolues n’existent pas.
Lorsque j’entends de telles affirmations, je veux toujours demander : « En es-tu absolument certain? »
Il faut se demander si de telles affirmations sont même logiques, car lorsque les gens affirment qu’il n’existe ni bien ni mal et que vous avez donc tort de leur imposer vos valeurs morales, ils sont en fait en train de vous imposer leurs valeurs morales comme valeurs absolues.
Le fait est que nous savons tous distinguer le bien du mal, mais nous avons cette tendance étrange de vouloir étouffer cette connaissance lorsqu’elle entre en conflit avec notre désir de plaisir ou de gain personnel.
Vous pourriez facilement justifier l’adultère, si c’est vous qui le commettez, mais vous n’agiriez pas de la même façon si c’était plutôt votre conjoint qui le commettait.
De même, vous pourriez facilement défendre votre droit de prendre un article sans permission; cependant, si quelqu’un vous dérobait un article, vous crieriez au vol.
En fait, je ne connais personne qui, arrivant du travail pour découvrir qu’un voleur était venu vider sa maison en son absence, dirait : « N’est-ce pas merveilleux que ce voleur puisse profiter de toutes mes possessions sans me demander la permission de les prendre?
Qui suis-je pour imposer ma définition du bien et du mal sur ce pauvre voleur? »
Ne serait-ce pas ridicule comme réaction? Bien sûr que si!
Même ceux qui disent que le bien et le mal n’existent pas possèdent un code moral personnel. Ils ont tout simplement choisi quelles règles suivre.
Voici une bonne façon de distinguer entre le bien et le mal. Imaginez-vous en train de recevoir la pareille.
Jésus a bien résumé ce concept lorsqu’il a dit : « Faites aux autres ce que vous voulez que les autres fassent pour vous. »
Nous savons tous que c’est mal de pratiquer le meurtre, le viol, le mensonge, le vol, la torture ou l’injustice.
Pourquoi? Parce que nous ne voudrions jamais être victimes de tels actes.
La personne qui affirme que le bien et le mal n’existent pas n’accepterait tout de même pas de se faire violer.
Non, lorsque nous nous imaginons victimes de tels actes, nous constatons bel et bien que Dieu a mis en nous la conscience du bien et du mal.
Lorsque nous agissons contrairement à notre conscience, nous avons besoin de pardon.
C’est pour cela que Dieu a envoyé Jésus sur terre : pour que nous puissions être pardonnés de toutes nos offenses.
Publié il y a 3 ans par Eglise au Cœur de la Ville
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