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lundi 19 décembre 2016

Quand Dieu ferme une porte

ACTES 16.1‑15
Avez‑vous déjà acquis l’assurance que Dieu approuvait un certain projet au sujet duquel vous aviez prié?
Vous avez planifié en conséquence et, le temps venu, vous vous êtes cogné le nez.
Il s’agissait peut‑être d’un déménagement, d’une relation menant au mariage ou d’une offre d’emploi alléchante.
Peu importe, cela vous a laissé perplexe, déçu ou même désemparé. Que faisait donc Dieu?

Lors de leur deuxième voyage missionnaire, Paul et Silas ont fait une expérience semblable.
Ils avaient prévu rendre visite à des Églises qu’ils avaient implantées, mais ont décidé plutôt d’annoncer l’Évangile dans de nouveaux endroits.
Le Saint‑Esprit les a empêchés d’aller en Asie (la Turquie actuelle).
Ils se sont donc dirigés vers la Mysie, au nord, afin de se rendre en Bithynie, à l’est. Une fois de plus, le Saint‑Esprit leur a fermé la porte.
Ils se sont peut‑être demandé pourquoi Dieu leur interdisait de prêcher la Bonne Nouvelle.
Jésus ne leur avait‑il pas donné le Grand Mandat (Matthieu 28.19,20)?
Le Seigneur a répondu à Paul dans un rêve où il l’invitait à aller en Grèce, un pays aux multiples métropoles. De là, la Bonne Nouvelle pouvait se répandre plus rapidement.
À la longue, Paul s’est rendu à Éphèse et a présenté l’Évangile en Asie.
Quand Jean a rédigé l’Apocalypse, on recensait au moins sept Églises sur ce continent.
Dieu se sert souvent de portes fermées pour nous rediriger.
La réponse la plus judicieuse consiste à nous confier en sa sagesse, à attendre qu’il nous dirige et à suivre les incitations du Saint‑Esprit. Si nous comptons sur lui et lui obéissons, il nous bénira.

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