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samedi 15 juillet 2017

Les symptômes du découragement


JACQUES 1.2‑4
Le découragement constitue l’une des armes les plus efficaces de Satan.
Il sait que s’il réussit à nous priver de courage, nous n’accomplirons rien pour Christ.
Examinons la spirale descendante que cette force destructrice enclenche.
1. Un cœur partagé caractérise le découragement, car il influence chaque décision, dans chaque domaine.
Peu importe ce que nous faisons, nous avons l’impression de vivre sous un épais nuage noir.

2. Le découragement nous incite aussi à critiquer les autres et à trouver une personne qui soit responsable de notre malheur.
Peut‑être est‑ce Dieu, parce qu’il a permis que nous traversions des épreuves, ou peut‑être que les autres nous ont mal traités. Peut‑être même que nous nous sentons coupables de nos mauvais choix ou de nos erreurs. Il est futile de se répandre en récriminations. Personne n’a jamais été guéri ou restaur
3. La colère nous indique aussi que quelqu’un est découragé. À la longue, l’irritation fait place à l’amertume et ensuite à uné parce qu’il avait reproché ses difficultés à d’autres
. esprit de vengeance. Quand on laisse la colère bouillir en soi sans jamais y chercher de résolution, elle se transforme facilement en dépression. Puis la rancœur agit comme un cancer qui envahit tous les aspects de la vie.
On ne s’attendrait pas à découvrir ces caractéristiques chez les chrétiens, et pourtant, on ne les voit que trop souvent dans l’Église.
Priez le Seigneur de sonder votre cœur, de vous y révéler tout soupçon de découragement et de l’éliminer (ainsi que sa puissance destructrice) de votre vie.
Publié il y a 2 jours par Eglise au Cœur de la Ville 
Tiré du blog Les-secrets-de-zoé

mardi 11 juillet 2017

Citations




"Le contentement vient quand la volonté de Dieu est plus importante que nos désirs."
Auteur inconnu

"L’épreuve est le pinceau dont Dieu se sert pour tracer l’image de Christ plus distinctement en nous. Il est bon qu’il y ait une cohérence entre la tête et les membres ; afin d’être membre du corps de Christ, nous devons être semblable à lui, ‘homme de douleur, habitué à la souffrance’. Par conséquent, il est bon d’être rendu semblable à Christ, bien que cela se produise dans la souffrance." Thomas Watson

"Dans tout bateau, il y a un point imaginaire qu’on appelle le centre de gravité. Il reste stable quels que soient les mouvements du bateau, qu’il y ait du tangage ou du roulis. Pour réduire les risques d’attraper le mal de mer, on a intérêt à s’approcher le plus possible de ce point, qui suit le bateau dans sa course tout en restant immobile par rapport au bateau lui-même. Il en est de même dans le domaine spirituel. Si tu veux échapper à l’agitation qui trouble ton âme et la rend malade, cherche le centre, là où tu trouveras le repos de Dieu ! Ce centre, tu le trouves en toi-même, dans la communion avec Jésus-Christ. De même que le navire roule et tangue sous l’effet des vagues, nous aussi, nous sommes soumis au roulis et au tangage de la vie et de toutes les circonstances par lesquelles nous passons. Mais le centre de gravité repose tranquillement, même si le bateau est secoué par les vagues.
Quel magnifique centre ! On y trouve la sagesse et la force de Dieu. Heureux celui qui accède au repos de cette loi de gravitation, celui qui a toutes ses sources en Dieu ! Tout le reste lui sera donné par-dessus. Notre centre de gravité doit être au même endroit que celui de Christ. Nous connaissons alors le repos dans sa pleine mesure. Où se trouve ton centre de gravité ?
Si tu veux échapper à l’agitation qui trouble ton âme et la rend malade, cherche le centre, là où tu trouveras le repos de Dieu !
Extrait de l'article «Le centre de gravité spirituel» qui fut publié dans l’édition de «Trésors cachés», en janvier 1924

"La foi n'est pas seulement une adhésion intellectuelle. Elle est l'abandon de celui qui se sait perdu et qui fait entière confiance à son Sauveur. La foi ne brille jamais d'un éclat aussi vif que lorsque tout est ténèbres autour d'elle. Quand l'horizon est chargé des nuages de l'épreuve, la foi porte ses regards plus loin, là où rayonnent sans ombre la grâce et la fidélité divine. La foi n'est pas une compensation, c'est une plénitude. La foi est un oiseau qui sent la lumière et qui chante quand le jour n'est pas encore levé." Inconnu

"Qui d’entre nous n’a pas pensé de cette manière à un moment donné? Quand nous nous sentons dépassés par nos circonstances ou que la pression du quotidien nous semble insupportable, nous souhaitons fuir.
Que le stress soit causé par notre emploi, une relation ou une autre situation difficile à gérer, nous voulons en être soulagés. C’est alors que nous décidons de partir.
D'aller ailleurs ; n’importe où, sauf ici.

Notre Père désire cependant nous enseigner une grande vérité. Si l’on veut bien affronter les situations stressantes, il faut cesser de les combattre et être en paix.
Pour le psalmiste, cela signifiait s’arrêter et savoir que Dieu est Dieu (Psaumes 46.11).
Quand nous lui remettons nos problèmes, Jésus nous promet de nous accorder sa paix (Matthieu 11.28‑30; Jean 16.33).
Par conséquent, si notre nature cherche à éviter la pression, Dieu nous appelle à nous approcher de lui. C’est en absorbant les vérités de la Parole que nous trouvons la quiétude.
Surtout, le Seigneur veut que nous le connaissions. Si nous croyons qu’il est souverain (1 Chroniques 29.11), que ses projets sont bons (Jérémie 29.11) et qu’il nous aime immensément (Éphésiens 3.17‑19), nous lui ferons de plus en plus confiance. Nous découvrirons qu’il est alors plus facile de s’arrêter et de savoir qu’il est Dieu.
Notre stress n’a pas à se transformer en détresse. Mieux nous connaîtrons notre Père, plus nous garderons notre calme et serons confiants en toute situation (Philémon 4.7; Jérémie 17.7). Voilà l’apanage des enfants de Dieu."

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Dieu est là



PSAUME 32.1‑7
Certains des versets les plus précieux de la Bible ont été écrits pendant que l’auteur traversait de tristes et difficiles moments.
Notre perspective humaine ne nous permet pas toujours de distinguer l’épreuve de la bénédiction.
Il arrive que l’affliction soit à la source de certaines des plus merveilleuses bénédictions de Dieu. Pourtant, nous avons tendance à croire que si nous faisons les bonnes choses, le Seigneur nous épargnera le malheur.
David a pu rédiger le Psaume 32, non parce qu’il était resté assis sur une colline à surveiller son troupeau et à jouer de la harpe, mais parce qu’il avait traversé de grandes peines et qu’il avait eu besoin du pardon et de la délivrance de Dieu.
La joie que David a découverte auprès du Seigneur n’en était que plus douce parce qu’il avait goûté l’amertume.
Notre Père ne nous extirpe pas toujours rapidement du pétrin.
Il peut nous regarder aller, tandis que nous flottons à la dérive en direction des chutes et que nous lui demandons s’il sait ce qui nous attend. Il nous voit.
Il le sait aussi quand nous sommes au bout du rouleau, que nous souffrons, que nous sommes en désarroi.
Pourquoi semble‑t‑il si loin à ce moment‑là?
Le Seigneur n’intervient pas toujours comme nous le souhaiterions, mais il est toujours présent dans nos difficultés (Psaume 46.2‑4,8).
De plus, il répond à nos besoins d’une manière qui nous est bénéfique à long terme plutôt que de nous fournir une solution rapide.
Nous devrions toutefois nous demander si nous sommes prêts à apprendre ce que Dieu veut nous enseigner dans cette situation.

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vendredi 7 juillet 2017

Bats ta coulpe



Au détour de mes lectures....un auteur (Jacques ELLUL) écrivait cette expression de 'battre sa coulpe'....Je vous avoue humblement ne pas être coutumier de cette expression....!
Et pourtant.....!

'Battre sa coulpe' a son origine dans la pratique médiévale des moines qui, lors du chapitre des coulpes, devaient avouer devant la communauté rassemblée leurs fautes (en latin 'culpa') en se frappant la poitrine d'où le fameux 'mea culpa' qui était la manifestation de son repentir au sujet d’une faute : c'est ma faute...!
Bloy, dans "Le Désespéré" (1886, p. 338) écrivait que l'opprobre de la misère est absolument indicible, parce qu'elle est, au fond, l'unique souillure et le seul péché.
C'est une coulpe si démesurée que le Seigneur Dieu l'a choisie pour sienne, quand il s'est fait homme pour l'assumer.
Le jeu de mot serait qu'il a bu pour nous la coupe de la coulpe...!
Comprenons que dire sa coulpe consistait à confesser son péché.
D'ailleurs le fameux Alphonse Daudet dans les Lettres moulin (1869, p. 2251) écrivait en parlant de la couple : "Le malheureux [le P. Gaucher] était à genoux dans l'oratoire du prieur, et faisait sa coulpe avec un ruisseau de larmes.
Peut-être cela vous parait-il étrange mais les premiers chrétiens 'battait leur coulpe' en publique et s’efforçaient de le faire tous les jours.
Ainsi, ils avouaient leurs péchés les uns aux autres, là où aujourd'hui on n'avoue et ne partage que nos succès...
Les temps changent...!
A une époque où l'on trouvera presque normal de se convertir sans se repentir, la pratique à la source du christianisme qui consistait à 'battre sa coulpe' permettrait de vivre sa foi en disciples selon les véritables pratiques scripturaires, bénéficiant ainsi des nombreux fruits qui en découlent.
Proverbes 28.13 "celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde."
Jacques 5.16 "Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficacité."
La pratique déviante de ces choses (confessions auriculaire, pénitence, trahison de confession, etc...) ont endurcie des générations de chrétiens qui ont fini par perdre progressivement toutes notions de péché.
Ainsi dépouillé de ses fondements, le christianisme n'est plus qu'un christianisme de réussite, ou pire d'hypocrisie, repoussant l'utilité réelle de la croix et la nécessité de reconnaître ses péchés dans la démarche du salut.
Alors la question se pose :
Il y a longtemps que vous avez battu votre coulpe...?

 Pasteur Xavier LAVIE

La vérité qui nous libère



JEAN 8.31,32
Dieu veut ce qu’il y a de mieux pour chacun des siens, mais il arrive que nous nous enlisions dans de mauvaises habitudes, pensées et émotions qui font obstacle à son plan.
Le passage de Jean 8.31,32 nous montre ce qui nous libère de nos entraves et nous affranchit : connaître la vérité de l’Écriture.
Demeurer dans sa Parole signifie la lire fidèlement et la mettre en pratique. Nous sommes alors en mesure de reconnaître les pièges de l’ennemi, car nous savons ce que Dieu dit.
De plus, nous comprenons mieux les bénédictions qui accompagnent notre salut et pouvons tenir ferme, sans nous égarer du droit chemin.
Voici certains des bienfaits que nous recevons lors de notre conversion :
1. notre position.
Notre foi en Christ nous a fait entrer en relation avec Dieu.
Nous sommes maintenant ses enfants, nous avons libre accès à sa présence et nous sommes assurés qu’il entend nos prières.
2. sa Parole.
Dieu nous a donné l’Écriture pour nous guider et nous encourager.
3. ses promesses.
Selon ses précieuses promesses, nous sommes participants de la nature divine et nous fuyons la corruption qui existe dans le monde (2 Pierre 1.4).
4. sa protection.
Si nous obéissons à Christ, il nous fortifie et nous préserve du malin (2 Thessaloniciens 3.3).
La première étape à franchir pour vivre en liberté, c’est de découvrir tout péché, toute attitude et toute émotion négative qui nous dominent.
Puis il faut nous ancrer dans la vérité de la Parole et réclamer les promesses de Dieu par la foi.
Il est prêt à nous aider dès que nous crions à lui.

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