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samedi 7 mai 2016

Une juste vision du salut



Matthieu 5.14-15

Chaque dimanche, d’innombrables personnes partout dans le monde se rendent à l’église et s’y sentent à tort en sécurité.
Elles présument que leur moralité, leur adhésion à l’église ou leur baptême leur gagneront une place au ciel. Si beaucoup désirent sincèrement plaire à Dieu, ils ignorent quelle est la substance de la vie chrétienne et pensent qu’il faut faire plutôt qu’être.
Ils imitent donc les chrétiens fidèles et vont à l’église, prient, lisent la Bible et essaient d’être bons.
Le salut ne résulte pas de nos bonnes œuvres.
Nous naissons avec une nature pécheresse; nos mauvaises actions procèdent d’un cœur qui n’aime pas le Seigneur.
C’est très simple : puisque nous sommes tous pécheurs, nous péchons tous.
La conversion nous accorde toutefois une nouvelle nature (2 Corinthiens 5.17).
Notre péché est effacé parce que Jésus‑Christ s’est donné lui‑même afin de l’expier.
Dès le moment où nous croyons en Jésus, le Saint‑Esprit vient habiter en nous pour nous permettre de mener une vie juste.
Le monde estime l’action, mais Dieu met l’accent sur les relations, particulièrement une relation saine avec lui.
Les gens continuellement actifs qui s’enorgueillissent de leur religiosité ne connaissent pas l’intimité profondément satisfaisante qui existe entre le chrétien et son Père céleste.
Nous pouvons corriger les fausses notions en étant toujours prêts à expliquer la raison de notre espérance
 (1 Pierre 3.15).
Parlons de la nécessité de reconnaître Jésus comme Sauveur, qui ouvre la porte à une relation personnelle avec lui.
L’Église y gagnera si vous laissez briller votre lumière.

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