La rébellion est une forme d’esclavage.
Quand nous nous révoltons contre l’autorité de Dieu dans un domaine de notre vie, nous permettons à l’ennemi de nous enchaîner.
Nous n’en sentirons peut‑être pas immédiatement l’effet, mais rappelons‑nous la loi divine des conséquences.
À la longue, notre péché comportera un prix élevé.
Que nous ayons à le payer dans notre corps, notre cœur ou notre esprit, notre service pour le Seigneur en souffrira (Matthieu 6.24).
Dieu prend la désobéissance au sérieux parce qu’elle entraîne des répercussions.
Le Souverain de l’univers, notre Père aimant, veut notre bien.
Il est donc insensé de se rebeller contre lui. Les personnes sages lui obéissent ainsi qu’à sa Parole (Psaumes 119.9).
Les disciples de Christ peuvent essayer de justifier leurs torts.
Cependant, quand on considère toutes les excuses créatives pour défendre sa rébellion, on peut les répartir en quatre catégories :
1• Je refuse de faire ce que Dieu me commande.
Certaines façons de faire fi des lois de Dieu, commettre un meurtre par exemple, sont évidentes.
Il arrive toutefois que ce soit une désobéissance plus subtile et cachée qui nous freine; pensons à un manque de pardon ou à de l’indifférence devant une demande d’aide.
2• Je poursuis ce qui m’est défendu.
Le Seigneur nous a imposé certaines limites (voir Romains 1.28‑32; Galates 5.19‑21).
Il ne souhaite pas être un rabat‑joie, mais il veut nous garder de certaines actions dont les conséquences sont dévastatrices.
3• Je poursuis une chose que Dieu approuve, mais d’une manière qu’il condamne.
La vie chrétienne offre une grande liberté; on peut rechercher les richesses, la réussite et des relations.
Les croyants ne peuvent cependant pas atteindre leurs objectifs au moyen de l’escroquerie, de la tromperie ou de l’injustice.
4• Je poursuis une chose que Dieu approuve, mais en mon propre temps.
L’impatience nous conduit souvent à l’endettement ou à des relations conflictuelles.
Nous prenons les devants sur Dieu en poursuivant l’objet de notre désir.
Devant une décision, posez‑vous cette question : Quelle est la chose la plus sage à faire?
Consultez la Parole de Dieu et demandez au Seigneur de vous diriger, puis faites une pause et attendez sa réponse.
La personne qui accomplit la volonté de Dieu n’a jamais à se trouver d’excuses.
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Certaines façons de faire fi des lois de Dieu, commettre un meurtre par exemple, sont évidentes.
Il arrive toutefois que ce soit une désobéissance plus subtile et cachée qui nous freine; pensons à un manque de pardon ou à de l’indifférence devant une demande d’aide.
2• Je poursuis ce qui m’est défendu.
Le Seigneur nous a imposé certaines limites (voir Romains 1.28‑32; Galates 5.19‑21).
Il ne souhaite pas être un rabat‑joie, mais il veut nous garder de certaines actions dont les conséquences sont dévastatrices.
3• Je poursuis une chose que Dieu approuve, mais d’une manière qu’il condamne.
La vie chrétienne offre une grande liberté; on peut rechercher les richesses, la réussite et des relations.
Les croyants ne peuvent cependant pas atteindre leurs objectifs au moyen de l’escroquerie, de la tromperie ou de l’injustice.
4• Je poursuis une chose que Dieu approuve, mais en mon propre temps.
L’impatience nous conduit souvent à l’endettement ou à des relations conflictuelles.
Nous prenons les devants sur Dieu en poursuivant l’objet de notre désir.
Devant une décision, posez‑vous cette question : Quelle est la chose la plus sage à faire?
Consultez la Parole de Dieu et demandez au Seigneur de vous diriger, puis faites une pause et attendez sa réponse.
La personne qui accomplit la volonté de Dieu n’a jamais à se trouver d’excuses.
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Publié il y a 6 days ago par Eglise au Coeur de la Ville
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