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dimanche 17 septembre 2017

CITATIONS






"Éphésiens 5.29 et 1Thessaloniciens 2. 7 nous disent comment Christ prend soin de son église, tout comme les maris doivent prendre soin de leur femme et que les conducteurs d'Eglise doivent prendre soin de leur troupeau : le mot grec utilisé pour exprimer le terme "prendre soin" est "THALPO" et il signifie : garder au chaud, chérir d’un tendre amour, faire attention affectueusement comme une nourrice prend soin des enfants. L'affection fraternelle au sein de l'église est aussi exprimée par un terme semblable PHILASTRORGOS décrivant l'amour entre des parents et leurs enfants." Sophie Lavie

"La vérité est toujours intolérante et elle ignore tout compromis. Il y a des tolérances qui ne coûtent pas cher ; il n'est en effet que trop facile de préconiser la tolérance en ayant l'âme vide. Essayez de vous montrer tolérant quand vous croyez ardemment à une vérité déterminée, ce n'est pas possible !" Sergeï Boulgakov

"Nous devons nous parler à nous-mêmes plutôt que de nous écouter ! (…) Avez-vous réalisé que, dans la vie, la plus grosse partie de votre malheur provient du fait que vous vous écoutez vous-mêmes au lieu de vous parler ? Prenez l’exemple de ces pensées qui vous assaillent au moment du réveil. Vous ne les avez pas produites mais elles commencent à vous parler, elles ramènent à votre esprit les problèmes d’hier, etc. Quelqu’un est en train de parler. Mais qui donc ? C’est votre moi. Or, voici comment le psalmiste réagit : au lieu de laisser son moi lui parler, il se d’adresse à lui-même. « Pourquoi t’abats-tu mon âme ? » demande-t-il. Son âme le conduisait à la déprime et le faisait souffrir. Alors il se lève et dit : « Âme, écoute un instant, je vais te parler ». (…) L’art de la vie spirituelle est de savoir comment traiter avec soi même." Martyn Lloyd-Jones

"La tolérance ne peut être une vertu car elle est animée par le pluralisme indifférent de l'incroyance et englobe des demi-vérités relatives et limitées. Le véritable amour n'est donc pas tolérant..." Sergueï Boulgakov

"Si vous ne connaissez pas la Parole de Dieu, vos émotions modèleront votre vision de Dieu. Vous connaitrez un Dieu selon votre humeur. Vous serez faibles face à la tentation, bloqués dans vos réflexions, paralysés par vos soucis et perdus dans l’épreuve. En revanche, si comme Asaph vous-vous attachez à la lecture de la Parole de Dieu, à sa mémorisation, à sa méditation, à son étude et son écoute, alors vous pourrez passer de la tristesse à la louange. C’est en se rappelant de ce qu’il connait de Dieu par le témoignage des Ecritures qu’Asaph à vue la lumière. Dieu se dévoile dans le message qu’il nous a laissé : dans la Bible et ultimement en son Fils Jésus ! C’est probablement ce que Paul veut dire quand il dit à Timothée “Souviens-toi de Jésus-Christ “ en pensant à ceux qui ont abandonné le combat pour l’Evangile (2 Tim 2. 8). La vie chrétienne n’est pas à la merci de nos ressentis mais de la vérité de Jésus Christ. C’est une personne qui nous aide à lutter contre le découragement spirituel. C’est Christ lui-même." Raphaël Charrier

"L'individualisme chrétien est un signe d'immaturité ou de décadence pathologique." Sergueï Boulgakov

 "La création était destinée à être l'héritage du fils, sa gloire et sa joie.  Tout a été tiré du néant en vue du fils ; il est le but final de toutes choses et il est aussi la raison première (Jean 1.3) (Colossiens 1.17).  Rien n'a été créé sans lui, rien ne subsiste sans lui et il soutient tout par sa parole puissante.
A noter que le terme «monde » : par lui il a aussi créé le monde, n’est pas « kosmos »mais « aiônas » qui signifie les âges (création de l’espace et du temps). Christ est le seul médiateur entre le Dieu incréé et les créatures ; il est le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne. De même que c'est la lumière du soleil qui nous révèle le soleil, de même Christ est pour nous la révélation, le resplendissement de la gloire de Dieu.  Lorsque Christ nous révèle le père, ce n'est pas à notre raison qu'il le révèle, en nous inspirant des idées neuves à son sujet ; c'est dans notre cœur et dans notre vie, en nous faisant connaitre par expérience comment Dieu peut demeurer et agir en nous et nous faire jouir à nouveau de cette bienheureuse communion pour laquelle nous avions été créés." MacArthur

"Je le répète, le trait distinctif de la repentance évangélique est, non la crainte du châtiment, mais la haine du péché." Charles Spurgeon

"Le courage et la foi n’ont rien à voir. Le courage c’est dire : “Je suis fort“, la foi c’est dire “il est fort“." Raphaël Charrier

"Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils (Jean 3:16). Le « monde » fait davantage référence à l’intensité du péché qu’à son étendue. Il se réfère surtout à un ordre moral rebelle et coupable devant Dieu. Dans Jean 3:16, l’amour de Dieu envoyé aux hommes doit être admiré non parce qu’il est donné à un si grand nombre, mais parce qu’il est donné pour guérir un si grand fléau ; non pas parce qu’il est accordé à tant de personnes, mais parce qu’il est accordé à de si mauvaises personnes." Don Carson

"Nous devons évaluer nos vieux clichés évangéliques à la lumière des Écritures. C’est l’ensemble des enseignements bibliques sur l’amour de Dieu qui doit éclairer des aphorismes* tels que « Dieu aime tout le monde de la même manière » ou bien « Dieu nous aime inconditionnellement ». En bien des occasions, les Écritures dépeignent l’amour de Dieu comme étant soumis à la condition de l’obéissance. Mais elles disent également que l’amour de Dieu pour son peuple est inconditionnel — grâce à l’œuvre de Christ. “Nous avons besoin de tout ce que les Écritures ont à nous enseigner à ce sujet, sans quoi les conclusions doctrinales et pastorales seront désastreuses”. Don Carson

"Si vous me demandez un jour comment je vais, vous serez peut-être surpris par la réponse. Je ne prononce jamais la formule traditionnelle : « Très bien, merci. » Je réponds plutôt : « Mieux que je le mérite. » Cela étonne beaucoup les gens. Bien des fois, des non-chrétiens ont contesté cette réponse, car ils étaient persuadés que j’avais un complexe d’infériorité. Pas du tout. Je comprends juste qui je suis et ce que je mérite. Je mérite la colère de Dieu. Franchement, je devrais aller en enfer. Mais, au lieu de cela, je suis un enfant de Dieu. Il m’a pardonné et il m’aime. Je suis en route vers le ciel.
Oui, je vais beaucoup mieux que je le mérite! Cette perspective me remplit de joie, même les jours où tout ne se déroule pas comme je l’ai prévu. Nous sommes tous confrontés à des déceptions et à des circonstances difficiles. Certains d’entre nous connaissent de profondes douleurs et de terribles crève-cœur. Mais quelle que soit la situation, comprendre l’Évangile nous amène à nous émerveiller de l’amour de Dieu." C J mahaney


 
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